Numéro 8, novembre 1997

Edito

La coupure de fin de saison est difficile à négocier à plusieurs titres. TSF Info survivra-t-il, faut-il garder une activité sportive, peut-on se permettre de prendre des kilo, est-ce le moment de travailler la technique du crawl? La réponse commune à toutes ces questions pourrait bien être: « oui ». Mais un peu plus de précisions pourraient aider ceux qui ne savent pas ce que « couper » signifie, et à ceux pour qui cette unique réponse (« oui ») laisse toujours dans l’ignorance la plus absolue.

En ce qui concerne TSF Info, le « oui » est transitoire, ce numéro étant probablement un sursis supplémentaire à l’arrêt total de parution. N’oubliez pas que c’est vous, membres du TSF, qui devez le faire vivre. Alors armez-vous de votre courage et d’un stylo pour concocter des articles inoubliables ou faire part d’infos des plus intéressantes.

Pour le cas de la pratique sportive, mieux vaut essayer de garder une condition physique correcte en continuant de faire de l’exercice, ceci afin de ne pas repartir à zéro au moment de reprendre la préparation aux compétitions. La période est propice aux activités que l’on n’a pas l’occasion d’exercer pendant l’été. C’est le moment de ressortir le vétété, de faire de la musculation, de jouer au squash avec Philippe - notre entraîneur de natation (à vos risques et périls, n’est-ce pas Philou P. ?) -, d’apprendre ou réapprendre à nager, de travailler la technique course-à-pied (renseignez-vous auprès de Marie Line). Exit le travail spécifique en intensité, il faut privilégier le qualitatif ! Faîtes monter les puls dans le plaisir : faîtes des sprints avec vos potes de sortie vétété en haut des côtes (si c’est dans vos possibilités, bien sûr: sinon contentez-vous de suivre les premiers, c’est suffisamment difficile!), ...

Pour les kilo (de trop), les avis semblent unanimes pour affirmer que cinq kilo de plus que cet été, lorsque vous étiez jeunes, beaux et secs comme un pro, est un maximum: cela dépend de votre pourcentage de masse grasse des beaux jours.

Voilà pour l’introduction à TSF Info n° 8, bonne lecture, et pensez dès à présent à l’article que vous allez rédiger pour le n° 9 !

Romuald

 

Compétitions à venir

Le meeting de natation interclubs Anne Pignon est d’ors et déjà dans le calendrier des compétitions pour la saison 1998. Il est organisé par le Triathlon d’Issy les Moulineaux, et réservé exclusivement aux triathlètes d’Ile de France. La date de l’épreuve est le Samedi 7 mars 1998.

L’équipe du TSF s’était particulièrement bien comportée lors de la dernière édition. Il serait logique qu’elle réponde une nouvelle fois à l’invitation, et relève une fois encore le défi.

Renseignez-vous auprès de Séverin, et songez que les places sont chères. Seule solution pour envisager de participer: il faut nager, nager, nager...

 

 

Résultats

COUPE DE FRANCE DES CLUBS à SABLE/SARTHE (27/9/97)

La coupe de France des Clubs clôture la fin de la saison triathlétique pour pas mal d’athlètes français. C’est l’occasion de renouer les liens au sein des clubs pour la dernière fois de l’année compétitive, de retrouver de vieilles connaissances, et de faire la fête.

Mais, l’objectif principal de ce samedi, placé sous un soleil radieux d’été indien, c’est avant tout de montrer que la qualification obtenue à la force des mollets n’a pas été le fruit du hasard. Sept triathlètes (Alain V, François, Philippe, Fred W, Christophe C, Romu, Séverin) du TSF ont donc porté les couleurs du club afin de démontrer que leur participation était méritée.

Le hic, c’est que le niveau au sein de l’équipe est loin d’être homogène, de par le niveau de performance ou le type d’entraînement. Ce triathlon sprint par équipe s’est plutôt déroulé comme le couplage d’une séance d’entraînement pour les uns, et hypermaxi pour les autres.

Comme pour tout triathlon, départ en natation pour un 750 m, sans combat puisque l’on part en équipe et que l’on ne pourrait être gêné que par des copains. Merci les 2 séances d’entraînement en groupe effectuées préalablement, car c’est loin d’être aussi évident que çà de nager efficacement en groupe : Christophe, Philippe, Séverin et Fred font la trace dans l’eau pour Alain et François, Romuald derrière pousse régulièrement les pieds des deux précédents pour les aider à suivre le rythme ! Sortie groupée de l’eau, comme prévu, dans un temps aux alentours de 10’20 (12’24 avec la transition, qui a été longue) (36ème temps).

Regroupement obligatoire, effectué par un arbitre,  à la sortie du parc pour s’élancer en vélo. Circuit en aller et retour avec un profil « légèrement vallonné » (qu’ils disaient sur le dépliant) : le « légèrement » est vraiment de trop! Sinon : route large, revêtement genre billard, peu de vent (favorable à l’aller, défavorable au retour). Stratégie d’avant course : Romu fait la sortie de ville (assez tortueuse), puis chacun prend des relais sauf Philou qui doit se réserver pour la course à pieds. Première partie remplie sans problème, puis chacun essaie de prendre son tour. Alain en prendra 3 ou 4 irrégulièrement puis sautera définitivement avant le demi-tour, au grand regret des six restant en lice. Au retour, Philippe qui a des fourmis dans les jambes prend quelques relais, mais dans la dernière bosse, il est à la limite de décrocher, tout comme Séverin qui s’est beaucoup donné jusque là. Heureusement, l’entente est exemplaire et l’équipe reste soudée, grâce aux encouragements mutuels. Le passage en ville provoque une cassure qui fait perdre quelques secondes, mais l’arrivée au parc et le départ course à pieds s’effectuent groupés (Temps vélo : 33’53 avec la transition, pour 22 km soit environ 39,5 km/h de moyenne)(42ème temps).

Le parcours à pieds s’effectue sur un hippodrome par de nombreux allers et retour en escargot. Philippe, qui a récupéré, démarre en trombe. Un peu trop vite pour Christophe qui encaisse mal la transition, mais tout le monde reste groupé. Malgré un rythme régulier (4’ au km, comme l’affirmait Lucien, improvisé suiveur de l’équipe), chacun leur tour François, Séverin et Philou ont un passage à vide mais s’accrochent courageusement. Au 3ème km, Séverin prévient: « Je vais gerber », mais rien ne vient, fort heureusement. Philippe se sent poussé des ailes et donne le rythme, assez soutenu pour que Christophe exécute la prévision de Séverin dans le dernier km. Romu pousse de temps en temps le quatrième larron et encourage le sixième afin qu’il reste dans les foulées. Finalement ils franchissent la ligne quasi groupés au terme d’un sprint final qui n’en finit jamais (Philou a craqué dans les derniers 50 m après avoir tiré en tête pendant 2 ou 3 km) ! Temps course à pieds : 18’51 soit 3’46 au km (49ème temps). L’effort a été intense: Séverin s’écroule au sol, épuisé, le reste de l’équipe pose ses fesses rapidement pour récupérer . Tout le monde se serre la main et se congratule chaleureusement.

Classement final : 44ème sur 57 clubs présents. Pour les uns (ceux qui n’ont fait qu’un entraînement, ou presque: Romu et Fred) on aurait pu faire mieux (techniquement parlant). Pour les autres (ceux qui ont fini dans le « très dur »: Christophe, Philou, Séverin, François) on n’aurait pas pu faire mieux. Pour celui qui n’a pas fini (Alain) çà allait vraiment trop vite sur un parcours vélo finalement difficile.

Ensuite repas avec toutes les équipes puis ambiance discothèque sur place jusque vers 2h du mat. Journée super entre copains, sur une forme d’épreuve inconnue, chacun étant décidé à essayer d’en refaire si d’autres organisations de ce type avaient lieu.

Note technique : c’est la capacité moyenne de l’équipe qui est jugée,

c’est-à-dire l’addition du temps réalisé par le moins bon nageur + celui réalisable par le moins bon vélo (5ème, 6ème ou 7ème ) + celui réalisable par le 5ème moins bon en course à pieds, en sachant que le moins bon n’est pas forcément le même dans toutes les disciplines. L’équipe doit se mettre au niveau de son moins bon nageur pour partir en vélo à 7 tout en perdant le moins de temps possible en natation car le 5ème (ou 6ème ou 7ème ) moins bon vélo ne pourra pas rouler plus vite (car il est déjà à son maxi) et rattraper le temps perdu, enfin le 5ème (à l’arrivée finale) ne doit pas être épuisé par un vélo d’enfer car il exploserait à pieds et perdrait plus de temps qu’il n’en avait gagné (merci pour ces explications aussi concises que compréhensibles, cher Alain! NDR ).

ALAIN V.

Dossier

La position cycliste: régler votre vélo en sept étapes.

Le cyclisme est une discipline à part entière dans le triathlon. Les triathlètes accordent une grande importance à leur matériel: il n’y a qu’à jeter un oeil dans un parc à vélo pour se rendre compte du degré de technicité moyen des cycles de triathlon ! Malheureusement, beaucoup estiment que ne pas rouler sur un vélo haut de gamme est incompatible avec la performance, alors que l’on sait clairement aujourd’hui que c’est la position qui est primordiale, garante d’un rendement optimal, et non la technicité du matériel.

Voici en sept étapes le parcours qu’il faut réaliser - dans cet ordre ! -avant de prétendre être parfaitement posé sur sa machine. Ce sont les réglages préconisés pour une position cycliste traditionnelle, nous verrons plus tard le cas du triathlon.

1- Le cadre:

La première cote à déterminer est celle de la longueur du tube de selle, mesurée de l’axe du pédalier à l’axe du tube horizontal. La hauteur de l’entrejambe (en cm) multipliée par le coefficient 0,65 (méthode Genzling) est une bonne approche de cette hauteur de cadre. Savoir qu’on privilégie un cadre un peu trop petit que l’inverse pour des raisons de rigidité, de maniabilité, et de poids: on arrondira le résultat du produit au cm inférieur.

Comment mesurer l’entrejambe (EJ) ? Sur un sol bien plat et adossé à un mur d’aplomb, pies nus, légèrement écartés, les talons contre le mur. Placer à l’équerre entre les jambes un repère (une règle), monter au maximum contre le périnée sans exagérer, et marquer au niveau supérieur. Mesurer jusqu’au sol.

Hauteur de cadre = EJ x 0,65

NB: attention, messieurs ! Une mesure d’entrejambe comprise entre 10 cm (ridicule) et 20 cm (bravo !) doit être un malentendu. Lisez bien les recommandations ci-avant.

2- Le réglage des cales :

Ce point d’appui mérite toute notre attention. Tout le pédalage est influencé par le travail du pied. La bonne position du pied est un compromis entre la force d’appui et la vitesse d’exécution. Selon Armel André, l’axe de la pédale doit passer légèrement en retrait de l’articulation du gros orteil (4 à 5 mm en retrait). La finalité est de placer le pied le plus près possible de l’axe du cadre pour pouvoir exercer la plus grande force possible.

3- La hauteur de selle:

Elle se mesure de l’axe du pédalier au centre du dessus de la selle (au niveau du creux). La méthode Genzling de détermination de la hauteur de selle consiste à multiplier l’entrejambe -encore lui - par le coefficient 0,0885. C’est une position moyenne. Elle peut varier selon la souplesse du sujet ( moins on est souple et plus on baisse la position, et vice-versa), la pointure, et le type de cales utilisés. Ainsi Armel André préconise de retirer mm à la mesure de hauteur de selle pour les utilisateurs de cales Look, et 8 mm pour les utilisateurs de cales Time (les pédales automatiques rapprochent le pied de l’axe de la pédale, de manière plus marquée pour les cales Time). Quoi qu’il en soit, le talon doit toujours pouvoir venir se placer plus bas que la plante des pieds lorsque la chaussure est engagée dans la pédale. N’oubliez pas de positionner la selle parfaitement à l’horizontal avant tout réglage. Les triathlètes ont tendance trop souvent à surélever leur selle.

4- Le recul de selle:

La technique de Daniel Clément, empirique mais toujours au goût du jour, est la suivante: assis bien en selle, les manivelles placées à l’horizontale, pieds à plat, talons légèrement surélevés si les chaussures sont cambrées. Faire descendre un fil à plomb depuis l’arrière de la rotule. Avancer ou reculer la selle de telle sorte que le fil passe - au plus loin - par l’axe de la pédale (cales réglées!). Ces recommandations sont en contradiction avec le réglage type triathlète, comme nous le verrons plus loin.

5- La longueur des manivelles:

Il n’y a pas de règles vraiment établies. Savoir tout de même qu’à puissance égale, de longues manivelles permettent une économie du travail musculaire. Les avis d’Armel André et du Pr. Dal Monte convergent pour estimer que la longueur des manivelles dépend en grande partie de la souplesse de pédalage du sujet: plus on est apte à pédaler en souplesse, et donc en vélocité, plus on va tendre à choisir des manivelles plus grandes. Quant à l’incidence d’un changement de longueur de manivelle sur l’aspect biomécanique du genoux, voilà l’avis d’Armel André: « Passer de manivelles de 170 à 180 mm n’engendre aucune variation d’amplitude articulaire du genoux. En fait, c’est surtout la cheville qui absorbe la variation. » Imposez-vous des séances de travail de vélocité si vous souhaitez franchir le pas !

6- La potence:

La première mesure de la potence peut être déterminée en multipliant la hauteur du cadre (en mm) par 0,214 jusqu’à 550 mm, et 0,216 590 mm (arrondir au demi cm près). Puis procéder comme suit: bien calé sur la selle, les mains dans le creux du cintre (en bas du guidon), les coudes légèrement fléchis: les genoux doivent venir effleurer les coudes lors du pédalage (manivelles dans l’axe du tube diagonal). Si les genoux sont à plus de cm des coudes, la potence est trop longue. Si les genoux « entrent dans les coudes », la potence est trop courte. La différence de hauteur entre la selle et la potence varie entre 3 et 10 cm. Imposez-vous également des séances les mains en bas du guidon pour travailler la souplesse dorsale et lombaire (en même temps que vous travaillez la vélocité, par exemple: voilà une séance intéressante et efficace à intégrer dans la préparation).

7- Le cintre:

En principe, il est d’une largeur proportionnelle à celle des épaules (40 à 44 cm de large). Toutefois, certains préféreront un cintre plus large ou plus étroit, selon leur goût. Réglez l’axe d’appui inférieur du cintre proche de la perpendiculaire par rapport à la douille de direction du cycle pour plus de confort et de maniabilité.

Conclusion:

A vos clés ! Ne perdez pas de l’esprit que tout doit rester une affaire de sensation, et que le confort est quelque chose de subjectif, propre à chacun. La position idéale ne sera déterminée qu’à tâtons, sans doute au mm près: soyez patients ! N’hésitez pas à vérifier vos réglages, modifier votre vélo, changer vos cotes actuelles. Faites-vous aidez pour les réglages délicats. Passons à présent à ce qui nous touche plus particulièrement, la position du triathlète.

 

La position du triathlète: quels changements?

Au départ, il y a un responsable: le guidon - ou rajout - de triathlète. Alors que celui-ci doit apporter confort et/ou aérodynamisme selon l’utilisation que l’on en désire, il a modifié rapidement la position traditionnelle du cycliste coursier, remettant en cause les réglages présentés ci-dessus. Citons immédiatement à ce propos le point de vue d’Armel André: « La spécificité du triathlon n’implique en rien des réglages et une position différente du cycliste sur le vélo. Aux débuts de cette discipline sont apparus des éléments nouveaux tels que les guidons de triathlètes. Ces guidons, une fois fixés sur le cintre du vélo, se situaient hors de la zone d’atteinte des mains. On a donc assisté à des changements de position, l’homme s’adaptant dans ce cas de figure à sa machine, et non l’inverse. Pour ce faire, le corps s’est déplacé vers l’avant en même temps que le point d’ancrage de la selle se rapprochait de l’axe du pédalier. Mais en procédant de la sorte, les triathlètes se sont trompés. Cette manière de pédaler a amené une détérioration physiologique et aérodynamique. »

Aujourd’hui, on observe un changement de comportement. Les positions se rapprochent de celle des purs cyclistes. Mais la position idéale pour le triathlète est difficile à apprivoiser. Ceux qui recherchent une position aérodynamique vont baisser énormément la potence. L’utilisation d’une potence de longueur telle qu’elle est recommandée dans les réglages classiques s’avère inappropriée. Le cintre se retrouve exagérément loin, d’où une position de selle très en avant pour retrouver un peu de confort. Une des solutions consiste à monter une potence courte afin de garder une position bien en retrait de l’axe de pédalier (rendement amélioré), plus confortable (car moins allongé), et aérodynamique (dos plat).

La solution idéale serait encore de pouvoir moduler la configuration de la potence en fonction du profil de la course: parcours plat - potence courte et basse- ; parcours montagneux - potence de longueur classique et relevée, la position de la selle ne devant jamais varier du réglage classique. Cette solution peut être envisageable par l’achat de la potence Ergostem de chez Look, qui permet par l’intermédiaire de 2 axes de réglages toutes les possibilités possibles ou presque (il vous faudra débourser tout de même près de 900 francs pour vous offrir ce plaisir !).

La solution la plus simple est de régler votre vélo de manière intermédiaire entre position classique et position radicale du triathlète, de façon à obtenir une position polyvalente. La selle sera avancée de 1 à 2 cm par rapport à la position classique (l’achat d’une selle longue, type Flite, est intéressante car elle permet un déplacement du bassin de plus grande amplitude sans trop modifier le réglage de la selle elle-même), la potence plus courte de 1 à 2 cm par rapport à la longueur classique, et placée la plus basse possible. Ainsi en ascension le fessier se retrouve complètement à l’arrière de la selle, éventuellement légèrement dépassant, et sur les parcours plats c’est sur le bec de selle que le pédalage sera réalisé.

Compliqué tout çà ! Pas d’énervements: vous vous y retrouverez au fur et à mesure, à force d’expériences et de métier ! Réglez en fonction de votre potentiel: plutôt grimpeur (avancé) ou rouleur (reculé).

Bon courage!

 

 

Cette rubrique est entièrement dévolue aux petites annonces personnelles : vente, achat, troc, mots doux...

 

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Pour tout çà et pour autre chose s'adresser à Fred W. dit "grosses cuisses" (réservé aux participants du stage de Pâques).

 

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Ont participé à la rédaction de ce numéro :

Romuald LAVAUD, Alain VERBRUGGHE.

 

FINsnif !!

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